Nous parlons du thé, de recettes, de lectures, de voyages et d'entreprenariat
We offer for the month of April, a better version of tea time or afternoon tea. We stop for a moment !!! Close your eyes and feel its relaxing and intoxicating aromas, and its delicious scents. Your tea time will be a concentrate of greed and well-being.
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As usual, you will receive an assortment of 4 to 5 varieties of teas and infusions to taste and share (or not).
Vous adorez le bubble tea mais n’arrivez jamais à en trouver à moins de visiter un quartier chinois? Cette recette facile vous plaira sans doute! Elle convient aux vegans comme aux intolérants au lactose … ainsi qu’à quiconque aime le thé les boissons crémeuses.
30 grammes de billes de tapioca
10 g de votre thé noir préféré
300 ml d’eau
300 ml de lait de soja
Un peu de sirop d’érable (ou autre adoucissant)
À moins d’avoir du tapioca tendre et hydraté, il vaut mieux vous y prendre avec de l’avance lorsque vous désirez servir du bubble thé! En effet, les billes de tapioca nécessaires à cette recette doivent être trempées pendant la nuit. Submergez-les donc d’eau avant d’aller vous coucher : la vraie préparation commence demain!
C’est fait?
Passons donc aux choses sérieuses! Dans une casserole, portez 300 ml d’eau à ébullition. Ajoutez-y le thé noir et laissez bouillir une minute. C’est après ce moment que vous ajouterez le lait de soja. Le liquide froid refroidira le contenu de votre casserole : il faudra attendre que votre liquide bouille de nouveau. Alors, vous pourrez arrêter le feu. Tamisez votre thé au lait et laissez reposer.
Une fois votre thé mis de côté, faites bouillir le tapioca dans l’eau utilisée pour le réhydrater. L’ébullition doit durer au moins une ou deux minutes, question d’attendrir ces billes de tapioca encore fermes. Cette fois, vous ne garderez que les billes de tapioca. Espérons que vous avez toujours ce tamis sous la main! Pas d’inquiétude : vous avez bientôt fini. Il vous suffit de transposer le tapioca dans le récipient de votre choix (une bouteille à large goulot fera admirablement l’affaire) et d’adoucir avec une petite coulée de sirop d’érable – à ajuster selon vos préférences!
Versez enfin le thé au lait de soja préparé plus tôt. Ça y est! Vous êtes prêt(e)s à déguster.
We start a series of portraits on. Honor to Léa, a French illustrator who won us over with her varied creative talents. Talk about a cup of tea of course.
_Hello Léa, can you tell us what you like to prepare and where does this attraction come from? _
In cooking I like to experiment, to test new associations of flavors and especially to discover new cultures. Being a vegetarian since I was a teenager, and having discovered lactose intolerance a few years ago, I like to turn recipes to fit my diet. Cooking allows me to create, imagine and share with my loved ones. I am convinced that pleasure and well-being go through our plate and the products we assimilate.
__In your creativity, do you conceive design and cooking as two complementary fields? How does each feed the other?
Thanks to the kitchen I discovered a new passion, the culinary scenography. I like my plates, even those of rainy and grumpy days, to be harmonious. I think that the pleasure around a meal is largely due to the visual.
Cooking and making recipes is a form of creation. Taking pictures and scenography can highlight the dish, strengthen the greed and envy.
_Ton site addresses 3 main themes: self-cooking, cooking and traveling. Between the lines, we could summarize that home cooking helps you escape? Do you agree with this shortcut? What is your philosophy of life? _
I am rather curious, I like to discover new cultures, new ways of living and especially to taste new dishes! If smaller I was cautious in terms of culinary discovery, I now love to taste, test and learn!
Cooking is one of the main vectors of culture. By discovering the traditional dishes of a distant country or a region closer, we enter a history, an inheritance! The kitchen allows us to gather and share some of our origins and our history.
So in my little kitchen, I pick in the kitchens that I like, that I discover as and when. When I want sun I take inspiration from Italian or Lebanese cuisine, when I have a desire for sweetness I go to make Swedish kanelbullar. Cooking allows me to travel!
_How important is a cup of tea in your day? What is your preference? _
My cups of tea and infusions punctuate my days. I always start my day with a big mug of green tea, flavored or not according to my desires. Then during the day, the morning break, after lunch, to taste and of course my evening brew to finish the day smoothly.
My flavor choices reflect the season, my mood of the moment. One thing I love in tea is being able to choose from a multitude of tastes, smells. At this moment I like to turn to flavors of spices, citrus and around the taste of vanilla.
_And finally, in your home brew recipe you mention that you intend to offer this infusion as a gift to your loved ones. Can you tell us if this one was a hit? ;) _
This infusion was very appreciated by my relatives, even by my mother who puts herself gently to tea and infusions without adding sugar! I still enjoy it from time to time, even if Christmas is over. It is necessary at all costs that I relaunch myself in the making of a new seasonal infusion. Being in my citrus period, I could perhaps try a tea with lemony flavors.
Darjeeling, pour les grands voyageurs, évoquera l’Inde, la grandeur des montagnes de l’Himalaya… mais surtout, la région de Darjeeling est reconnue pour son thé. En effet, de tous les thés noirs, le Darjeeling peut facilement prétendre aux plus grands honneurs. On le nomme même parfois le champagne des thés noirs! Particulièrement prisé en Grande-Bretagne et dans les divers pays de l’ancien Empire britannique, le Darjeeling connait une popularité monstre... qui dérape parfois vers la contrefaçon. Dans la région de Darjeeling, au cours des nombreuses récoltes de l’année, on compte une production annuelle de 8 000 à 11 000 tonnes. Or, il est dit que 40 000 tonnes de « Darjeeling » sont vendues par année. Comme quoi, il ne faut pas se fier à toutes les grandes surfaces qui étiquettent leurs produits bon marché de ce nom!
Avec un bouquet d’arômes floraux et des notes épicées rappelant le muscat, le Darjeeling bien préparé est un breuvage robuste et savoureux. Pour obtenir le meilleur de cette boisson au goût boisé et légèrement amer, on conseille de ne pas laisser infuser plus de 4 minutes dans une eau à 95 degrés Celsius. Savoir doser est également très important : on utilisera donc entre 10 et 12 grammes par litre d’eau. Comment savoir si vous l’avez bien préparé? Facile : le thé darjeeling idéal a une couleur pâle, délicate. Le thé lui-même semble léger et ses parfums, délicieux.
Afin de bien conserver les bienfaits santé du thé noir – et de pouvoir bien trouver et apprécier le goût si fin du Darjeeling – il est conseillé de ne pas y ajouter de sucre ou de lait. Ne vous inquiétez pas – comme c’est le cas pour un bon café, un bon thé ne devrait pas nécessiter d’ajouts pour être délicieux en bouche.
Préparer la tasse de thé parfait est tout un art! Oui, plusieurs thés sont simples à aborder. Les thés aux fruits, par exemple, sont infusés dans de l’eau bouillante et risquent rarement de devenir trop amer si vous les oubliez quelques minutes supplémentaires ou si vous calculez un peu plus de la quantité indiquée.
Toutefois, tel n’est pas le cas de tous les types de thés. Les « débutants » du thé n’y songent pas toujours, se disant qu’une tasse de thé goûtera le thé peu importe ce qu’ils feront. Cependant, certains gestes et certaines habitudes signifient parfois que le thé ne développera pas tous ses arômes… ou bien, au contraire, que certains parfums subtils sont ruinés par une eau trop chaude, ou que le goût est rendu amer par une trop forte concentration de thé. Il faut savoir trouver l’équilibre parfait! Et pour cela, il faut d’abord apprendre à bien doser son thé.
Pour une théière de taille standard (environ 350 ml), il y a une règle générale utilisée pour obtenir un thé décent : vous n’avez qu’à calculer 1 cuiller à thé par personne, plus une cuiller à thé en extra, « pour la théière ». De façon plus précise, les spécialistes du générique évaluent qu’une quantité de 2 à 2,5 grammes (donc, une cuiller à thé) par tasse de 100 ml est un bon pari à tenir.
Bien sûr, ce n’est pas une règle fixe : les types de thés nécessitent différentes quantités en soi (vous trouverez souvent les indications spécifiques sur la boite ou le sachet) et chacun a ses préférences – certains aiment leur thé plus corsé, par exemple, et qui les empêcherait d’ajouter une cuiller de thé à leur mélange? Pas nous, en tout cas!
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